Ma mission : vous faire expérimenter la vôtre

Je m’appelle Julien Ridouard. Après presque 15 années dans l'ingénierie de Management de projet, j'ai décidé en 2018 de me laisser porter par une mission qui avait beaucoup plus de sens pour moi : manager le bonheur des gens.

Je suis né en 1983 à Tours. Le décès de mes parents, dont j'étais très proche a marqué une vraie prise de conscience pour moi.


Je les ai vu trimer toute leur vie pour préparer la Sainte Retraite, et ils sont tous les deux décédés au moment d'en profiter.


Moi qui avait besoin de 5 réveils le matin pour me sortir du lit, ce fut le réveil le plus fort de ma vie, pour me sortir de ce cadre dans lequel je m'étais enfermé, à reproduire le même schéma qu'eux.


Depuis 2019, j'accompagne des personnes de toutes classes à en faire autant. Mais en un temps record.


Car depuis 2018, jour après jour, j'investis Temps, Energie et Argent à faire en sorte que chaque personne identifie rapidement ce qui la fait vibrer, et puisse l'expérimenter sans attendre, afin qu'elle découvre par elle-même que


J'aime voir les gens expérimenter ce qui leur semblait impossible, en leur apprenant comment faire. Car ni l'école ni notre entourage ne nous l'a enseigné.


Que ce soit expérimenter un stand up, monter son entreprise, partir faire un tour du monde, emmener son entreprise à un autre niveau, etc... peu m'importe, tant que vous arrivez à goûter les saveurs de ce rêve qui vous semblait inaccessible.


Je passe en mode inarrêtable lorsque lorsqu’il d'agit de créer des prises de conscience durables chez les gens.


Que ce soit faire venir une grue de 100 tonnes pour que les participants expérimentent leur pouvoir sur la peur du haut de 13 étages, ou qu’ils testent leur degré de leadership dans une meute de loups, ma seule limite est… ha ben non, je n'en ai pas :-)



Ma facilité de faire le lien entre les choses fait de moi un grand connecteur qui s’inspire de la nature et des différents miracles de chaque domaine pour apporter un regard différent au développement personnel.


C'est pourquoi j'aime parler de Développement Anti-personnel ! Car Ensemble on va vite ET loin.



Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours eu le syndrome de Peter Pan. Je ne voulais pas grandir. Par contre, je voulais entreprendre plein de choses. Le truc c’est que mon père avait une société pour laquelle il a donné toute sa vie, et tout son temps.


Cela a plongé ma maman en dépression et, très rapidement, dans un alcoolisme sévère. Aussi, le fils unique que j’étais s’est très vite retrouvé à devenir le parent de ses parents, dans un monde où l’entrepreneuriat incarnait le mal.


J’ai une quinzaine d'années et on m'explique sans cesse que : Dans la vie, on ne fait pas ce qu’on veut.


Mes rêves et ma créativité s'étouffent ce qui m’amène dans une vie que l’on a, du coup, choisie pour moi. Moi qui avais toujours voulu au fond de moi entreprendre, je réussis à me convaincre qu’il n’existe qu’une seule forme d’entrepreneuriat, et qu’elle n’est pas faite pour moi.


Finir comme mon père, non merci...


Cela ne fait que renforcer mon syndrome de Peter Pan, car cela semble vraiment relou de devenir un adulte. Mais c’est ainsi que, moi qui avais toujours détesté l’école, je me

retrouve à faire une école d’ingénieur qui m'emmène à un poste de cadre très confortable.


Sans même m’en rendre compte, je m'installe dans le fameux cadre : Travaille dur pendant 40 ans jusqu’à ta retraite, tu profiteras après.


C'est particulièrement douloureux car, en ce qui me concerne, je veux profiter de la vie maintenant, pas plus tard... Or je n’ai que 2 jours par semaine et 4 semaines par an pour profiter de la vie.




Fatalement, à chaque fois que le saint moment arrive, je suis trop crevé de ma semaine pour jouir de ce temps.


Sur le papier, j’ai tout pour être heureux :

  • je gère des projets énormes avec une grosse pression que je sais gérer,
  • je suis sur des projets ayant parfois 10 ans d’avance,
  • je pilote de grandes équipes d'ingénieurs projets avec lesquelles je prends beaucoup de plaisir,
  • je touche à toutes les couches hiérarchiques et côtoie énormément de monde,
  • je voyage régulièrement, nous avons un pavillon magnifique, de superbes voitures et mon garage n’est pas en manque de magnifiques motos.

Mais dans tout cela il y a un problème, et non des moindres, c’est que je ne sais pas pourquoi je me lève chaque matin.

D’ailleurs, la fonction « Snooze » de mon réveil est devenue ma meilleure amie. J’ai parfois 10 alarmes s'étalant de 6 h 30 à 6 h 55 pour être sûr que je me lève.


Qu’est-ce que j’ai pu l’entendre cette phrase : « Je ne vois pas de quoi tu te plains, t’as tout pour être heureux ! »


Effectivement, paraît-il que tout ce que j’ai à ce moment-là ressemble à la définition du bonheur pour la plupart des gens.


Sauf que, derrière ces apparences d’épanouissement, au fond de moi, je me sens envahi d’une profonde tristesse, car je ne me sens ni utile ni à ma place.


Moi qui ai des valeurs fortes sur l’utilité, l’amusement, la liberté d’agir et les connexions, autant te dire que je ne les nourris pas vraiment...


Toutes ces années, je cherche tout de même un peu d’excitation à mes heures perdues, en tentant de monter des projets qui se soldent tous par un échec. Cela me confirme que je ne suis pas fait pour entreprendre et qu’il me faut rester cadre dans mon cadre.


En 2010, mon épouse et moi, les rois de l’organisation d'événements, décidons d'organiser le mariage de nos rêves. Les personnes présentes en parlent encore. Je revois ma mère et ma belle-mère pleurer de bonheur dans les bras l’une de l’autre.


Je t’avoue que cette célébration m'emmène à un point de kiffe ultime.Enfin un projet que j’amène au bout et qui apporte beaucoup de bonheur aux gens. Toutefois, un événement tragique survient 3 mois après notre mariage. Ma mère nous quitte au moment d’enfin profiter de la sainte retraite.


S'ensuit alors une véritable série noire autour de nous. Le décès de ma mère réconcilie mon père avec son frère, mais mon oncle disparaît peu de temps après. On découvre un cancer à mon père qui l’emporte très rapidement.


Elles sont belles les saintes retraites tant attendues. Se faire chier toute sa vie à courir après une chimère qu’ils n’ont même pas pu toucher du doigt.


À cette période, je suis anéanti et me mets à faire n’importe quoi. Je pèse 110 kg et suis en colère contre tout et tout le monde. Même contre la vie ! Je fais des crises d’angoisse et je développe la croyance que je serai le prochain sur la liste... Je me demande bien à quoi ma vie aura servi.



Mais ce qui est beau quand tu touches le fond, c’est que tu ne peux que prendre appui sur le sol pour remonter. Je me dis que leur départ doit avoir un sens, celui de me faire prendre conscience que je dois kiffer la vie ici et maintenant, que le présent est le plus beau des

temps.


Seul hic, la peur pointe le bout de son nez....


Je réalise que changer de vie me semble bien plus douloureux que de rester dans cet inconfort. Je suis terrorisé à l’idée de gâcher tout ce que j'ai construit et de mettre ma famille dans la merde. Je n’ai aucune idée de comment faire, et on diagnostique à mon épouse, un burn-out pour agrémenter le tout. Je me dis qu’il est hors de question que je lui rajoute ce stress en plus. Cela me rappelle trop ce que ma mère a vécu.


Je découvre à l’époque que la solution n’est pas binaire. Que je n’ai pas à choisir entre salariat et entrepreneuriat. Qu’il existe un monde entre les deux.


Alors je commence à investir énormément sur moi, à me former partout, sur tout et n’importe quoi. La liberté financière, le développement personnel, etc. Je suis en plein dans le syndrome de l’objet brillant.


Je fais tellement d’actions que cela est contre-productif. Je me sens tellement con de ne pas y arriver avec toutes les connaissances que j’engrange. Mais justement, je n’y arrive pas parce que j’engrange trop d’informations.


Un jour, lors d’une conférence, je découvre un certain Baptiste Delalay. Moi qui suis motard, son histoire me parle car il a vécu le pire évènement qui pourrait m’arriver : un accident de moto qui l’a rendu paraplégique.



Le gars nous parle avec un courage sans nom. Je découvre un mec qui a décidé de faire de son accident la meilleure chose qui lui soit arrivée. Je fonce lui parler les yeux pleins de larmes à la fin de la conférence et, au moment où je m’excuse de lui raconter mes petits problèmes, il me coupe et me dit : « Je t’arrête tout de suite, il n’y a pas d’échelle de la souffrance. J’ai vécu ta pire peur, tu as vécu la mienne. Perdre mes parents serait pire que de perdre mes jambes. »


Les minutes passent, je lui parle de ce que je veux faire, je lui pose des questions sur comment il a pu réussir à trouver le courage de faire de son accident la meilleure chose qui lui soit arrivée. Il me répond : « Je ne me suis pas soucié du comment, je me suis demandé

pourquoi c’était important pour moi ».


Il m’explique qu’il a également trouvé la force en suivant un mentor : Mike Horn.


Sur le chemin du retour, je scrolle sur Facebook et je tombe sur cette citation :



3 mois plus tard, la première édition d'une immersion 9 SENS avait lieu. Je réalise que....



Que de chemin depuis le décès de mes parents. Que de rencontres, de travail sur moi, de développement. Est-ce que cela fut facile ? Je mentirais si je te disais « oui ». Mais ce dont je suis sûr aujourd'hui c’est que ce fut bien moins compliqué que de rester dans une vie qui ne me convenait pas.


La vie a utilisé son plus gros réveil pour m’ouvrir les yeux, et m’a offert 1 000 cadeaux sur le chemin.


Aujourd'hui, je me sens utile et à ma place. Mes clients disent que je leur permet de se sentir utile et à leur place : mais quel kiffe !


Je prends tellement de plaisir chaque jour à permettre aux autres d’aller kiffer dans une vie où ils s'amusent, se sentent utiles, à leur place et inspirant pour leurs proches.


J’ai créé les événements et les formats de coachings que j’aurais rêvé d’avoir. J'ai même écrit un livre, moi à qui les profs disaient que l'écriture ne serait jamais pour moi.


A croire que ce n’est pas pour rien que le slogan des 9 SENS est :

"Tu n'es pas perdu.e,

tu as juste oublié qui tu es "

Les 9 Sens

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